WS ready

Voici le DARED WS près pour une nouvelle tentative. J’ai mis quelques coups de bombe noir pour la finition et maintenant je me demande si je ne vais pas l’appeller le DARED VADOR 🙂

En retournant le sommet de la structure j’ai pu faire un petit siège avec son dossier, ce qui devrait me simplifier la vie pour monter dessus.La seule petite chose qui pourrai me poser problème se trouve au niveau des dérives. En effet elles sont en bois et donc flottent, il faut que je les force à « plonger » dans l’eau. Il faudrait que je trouve un système simple qui me permette d’automatiser le changement de bord. Je voudrais être capable d’en enfoncer une dans l’eau et relever l’autre en un seul geste. Si quelqu’un à une bonne idée je suis preneur, pour l’instant je vais faire une tentative sans.

A bientôt

14 commentaires Ajouter un commentaire

  1. Guy Capra dit :

    Bonjour Gurval,

    Des pattes à 90° de tes dérives actuelles (patte horizontale vers l’intérieur quand la dérive et baissée verticale), reliées entre elles par une latte sur charnières. Tu saisies cette latte forcée qui dans le même mouvement plaquera une dérive en vertical et relèvera l’autre.

    Mes 2 cts 😉

    Bonne continuation et bons essais !

  2. gurval dit :

    Pas con ! Je vais essayer avec un petit pied de table qu’on vise. J’avais pas penser à la barre rigide entre les deux, c’est très malin. Je vais faire le test, merci guy.

    Nauticalement;)

  3. xav dit :

    rah pas moyen d’éditer et j’ai ecris un truc bourre de fautes. y a moyen de supprimer le 1er?

    ca marcherait même mieux si les « pattes » ou bras de leviers etaient pas perpendiculaires aux plans anti dérive, mais (quand la dérive est horizontale) à 45° vers l’interieur.

    sinon tu va atteindre un point local dur et instable (genre l’effort de la barre centrale sera pile poil dirigé vers le centre de rotation des charnières)

    tu ne va pas avoir un probleme de trainée dans le clapot avec une deux dérives « horizontale »?

    merci beaucoupp d’avoir publié une photo complète en haute résolution non floutée.

    ps : j’avais donc vu juste sur le premier point, le siège qui passe au dessus.
    quid de la 2e analogie avec l’araignee d’eau?

  4. gurval dit :

    Oui effectivement c’est peut etre mieux avec un angle même leger. Pour les faute je suis désolé je ne peux pas t’aider, j’avais O de moyen à l’école 🙂
    Normalement si j’ajoute une barre sur ma dérive j’essairais de la mettre sur la partie haute qui est ors de l’eau au planning, c’est à faible vitesse que ça risque de « trainer » un peu.
    Et encore oui tu avais raison pour le siege, mais pour ta 2eme analogie je n’est pas le budget d’alinghi 😉

  5. xav dit :

    juste supprime le 1er des 2 post..
    depuis quand le paic citron (qui abaisse la tension de surface) coute cher? c’est bmw oracle qui avait fait peter le budget de ce cote la, pas alinghi!
    bah pour la 2e analogie je seche. c’est ca qui est bien, ton projet reserve plein de surprises(bonnes j’espere).

    au fait tu as vu les essais de peter lynn avec son engin a 4 plans planeurs?

    il en disait que c’etait parmi tous les engins qu’il avait developpe (plusieures dizaines) le plus rapide (mais avec un point de traction un peu haut). ca laisse presager du bon pour ton projet.

  6. Guy Capra dit :

    Attention le pied de table sera trop rigide ÀMHA et bloquera le mouvement : il te faudrait une latte pour pouvoir forcer le passage d’un état à l’autre en utilisant sa souplesse…

    À+

    Ah! et j’oubliais :
    Nauticalement,
    😉

  7. nalex dit :

    et le siège bébé ! il va ou ?

    1. gurval dit :

      A coté du porte-gobelet…

  8. armand dit :

    Bonjour Gurval ;
    Je vois que ça avance !! Maintenant pourquoi tu n’essaies pas d’accrocher ton aile à un seul point centré entre tes jambes, tu seras beaucoup libre dans tes mouvements et si tu as un problème tu auras qu’a faire qu’un seul geste pour ta sécu se sera de larguer ton aile. En tout cas c’est une belle bestiole que tu as là

  9. Psychokite dit :

    Félicitations en plus comme avec le siège par dessus tu est plus en sécu et il a un look d’enfer.
    Pour ce qui est d’attacher l’aile sur le bateau et non sur le pilote je suis toujours pas convaincu, en cas d’arrachage il vaut mieux ne pas être coincé entre l’armature en acier, imagine faire un bon de 5 m de haut atterrissage sur l’engin risquerait de te fracasser un membre, regardes sur terre un char a cerf volant va à 130 km/h ( http://www.peterlynnproducts.com/news/news.php?id=101 ) c’est impensable de rester solidaire du char en cas de problème mieux vaut se faire éjecter sachant que plus tu charge une aile plus elle développe de la puissance, l’avantage en l’attachant au bateau c’est que si tu ne change pas le seuil de rupture des lignes, elles pourront casser plus facilement mais avant tu aura fait un bond de quelques mètres.

    Félicitation pour ton travail, ton évolution tes remises en cause

  10. gurval dit :

    Salut psychokite.

    Merci de me mettre en garde mais je suis obligé de fixer l’aile au bateau car mes dérives sont en fait des paravanes. Ce qui veut dire qu’elle ne fonctionnent pas comme les roue d’un buggy ou des dérive normal. Ce qui risque de se passer si je ne me solidarise pas au bateau, c’est tout simplement de ne pas tenir dessus. Imagine toi assis sur un siège solidement encré au sol avec ton aile au harnais. Selon toi combien de temps vas tu rester assis avant de te faire arracher, sans poser les pieds par terre? Sur un char c’est la roue du coté du kite qui supporte la force, qui se transforme en pression sous l’action de ton propre poids et de la traction du kite. Avec une paravane ça marche autrement, tout est traction.
    Parcontre j’aime bien ton idée de securité « passive », c’est même une très bonne idée. Il vas me falloir pas mal de test avant de la mettre au point mais je vais suivre ton conseil.

    Merci, à bientôt.

  11. Psychokite dit :

    Pour rester souder au siège 2 solutions a combinées, 1ere c’est d’avoir un siege très englobant, jusque sous les côtes afin d’encaisser une partie de la derive et le deuxieme c’est un sac en forme de poire.
    Ce sac est fixé sur la partie (queue de la poire) au bateau sur le siège. En t’asseyant tu passes le sac « poire » entre tes jambes, ainsi par le simple faite de serrer les jambes tu restes coller sur le siège.

  12. gurval dit :

    Ha c’est pas con ça non plus! Peut être une bonne solution si je rencontre des problème avec mon système.

  13. xav dit :

    ta spread bar ne serait pas à l’envers sur la photo?!
    en parlant de hook, j’imagine que tu va en avoir un sur ton harnais (pour decoller l’aile sur la plage et l’amener au bateau) et un autre sur le bateau (pour y accrocher l’aile).
    il va donc faloir faire attention a ce que ton hook de harnais ne s’accroche pas (par ex avec la spreadbar du bateau), sinon ca empecherait toute ejection et le largage de l’aile serait compromis.
    il va donc faloir peut etre que tu te fasse amener l’aile par un assistant…

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