J’ai terminé les embases qui me permettront de fixer les bras aux flotteurs, elles sont en CP et carbone, légères et solides. J’avais oublié combien le travail du bois eéait agréable et le CP est vraiment un super matériaux pour ce genre de travaux. Il me reste a faire de belles chaussettes de carbone autour des chevilles de chaque pattes. J’ai placé les dérives juste pour me donner une idée de leur positions une fois relevées.
salut je suis avec interet tes avancés sur le tripode
juste une petit question ??? qui me turlupine : comment gerera tu la direction ??
tres belle realisation …. impatient que le voir a l’eau
apres avoir utilisé mon kite boat cette annee entiere , il est en revision amelioration des 1000 h de pratique …a suivre
Salut.
La direction est la même que sur un char à voile. Un palonnier contrôle un petit safran derrière le patin avant. La safran est l’aileron de la formula un peu modifié et le palonnier souple est fabriqué avec les straps. Rien ne se perd…
Bonne révision et bonne chance pour les prochaines 1000h de nav.
Bon, je vois que ça avance, c’est bien ! (c’est mon jour de distribution de bons points 😉
Plus sérieusement, n’ayant pas trouvé et donc pas lu cet article sur “la théorie de la masse” ou encore une publication intitulée “onde de choc” (enfin pas d’article résumé à mon niveau de temps et d’intelligence), peux-tu nous faire un petit topo ?
Ou au pire, quelques liens pour nous aider à comprendre ?
Nauticalement,
Guy
Merci pour le bon point.
L’article onde de choc est là et la theorie de la masse ici, là, et enfin là.
Pour faire simple, les règles qui permettent de prédire le comportements d’une aile sont complètement boulversées à partir d’une certaine vitesse, ensuite d’autre règles prennent leurs places. Le coup de la cuillère sous le robinet est un bon exemple: Avec un petit débit, l’eau semble coller au dos de la cuillère, si tu ouvre un peu plus le décrochement arrive assez rapidement, et si tu ouvre à fond c’est le drame t’en à foutu partout. Comme au billard l’eau rebondie sur la cuillère, c’est l’onde de choc. Jusque là rien de nouveau. Le seul problème c’est que la transition entre les stades d’écoulement est très délicate (voir les dégat qu’occasionne la cavitation sur les pales d’hélice). Donc le Grand secret c’est de bleuffer, faire croire à la dérive ou au foil qu’il vas plus vite qu’en réalité pour suprimer les désagrements liés au changements d’état. Bon j’espère avoir été un peu plus explicite, une photo en dirai plus mais malgré avoir déposé le principe je ne veux pas courir le risque de la poster sur internet. Si tu veux je t’enverrai en e-mail une images du « bon coté » des dérives.
Non seulement tu as des idées novatrices, mais tu sais très bien les communiquer : mon cher Gurval tu es génial ! (cette fois c’est plus qu’un bon point : au diable l’avarice, tu as une image ! 😉
Tes articles « frondeurs » m’avaient complètement échappé.
Merci pour ces liens, et même si tous les éléments de compréhension des vecteurs sur tes derniers schémas ne sont pas explicités, on comprend bien le principe sur lequel tu fondes tes recherches : bravo et encore chapeau pour la limpidité de tes explications.
Bien sûr le « bon côté » de tes dérives m’intéresse, mais si tu veux garder le secret je comprendrai. Maintenant pour protéger ton travail pense aussi que l’antériorité de la publication de tes modèles peut éviter à tous les autres de déposer leur viles copies à ta place…
Nauticalement,
Guy
J’ai encore beaucoup de progrès à faire sur les liens hypertexte dans mais reponse. En tout cas merci beaucoup pour cette image, je ne me rapelle plus à quand remonte la dernière que j’ai eu à l’école. Peut être même que je n’en ai jamais eu…
Bravo à toi aussi pour ta remorque super compact, simple et éfficace.